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Jardin Partagé

Nos
projets

janvier 2023

exposition des co-fondatrices de Bíos-Faire
dans le cadre de l'inauguration de l'association

Pessac

Evénement créé par Johanna De azevedo, Manon Guenard, Jaulène Lachaud, Élina Moreno et Marie Som, suite à leur recherche menée sur le terrain : Jardin Partagé, Métaphore de la Recherche action, dans les pyrénées.

Cette recherche donnera par ailleurs lieu à une publication collective. 

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Pièces aussi présentées lors de l'exposition :

Boules de neige

2021 

dimensions variables

cire d'abeille, réalisé avec de la neige du Jura lors du worshop Cairn, Voir est un travail en 2021.

ainsi qu'un protocole et une carte, réalisés par Johanna De azevedo et encirés par Jaulène Lachaud, 2021.

La lumière de la cire

2023 

​cire d'abeille

tissu de récupération et fil dimensions variables

installation réalisée dans le cadre de l'exposition

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« La lumière est un élément que l’on peut créer, mais qu’on ne peut attraper. Pourtant, ici, elle s’imprègne dans la cire d’abeille et semble faire corps avec la matière, faire matière. Elle sculpte la matière, lui donnant ces pleins et creux, laissant paraître un mouvement. 

Grâce à la lueur de cette lumière, ici mélangée entre lumière artificielle et naturelle, des formes apparaissent sur le tissu. Ces formes peu visibles dans l’ombre surviennent peu à peu, et permettent à l’installation de prendre vie.

La matière, plus ou moins épaisse, permet des jeux de lumières et de transparences. C’est cette lumière qui amplifie les contrastes et nous permet de remarquer plus de bosses, de creux, d’aspérités divers et donne l’impression d’une certaine organicité. Cela renforce aussi la couleur de la matière et lui permet des nuances. 

La production d’une forme organique avec la cire d'abeille est intéressante. Elle permet de mettre en œuvre de multiples techniques avec la cire. La cire est chauffée puis appliquée sur le tissu de la structure. Elle a été modelée de différentes manières. Il y a notamment eu un travail au pinceau ainsi qu’un travail de coulure puis de gravure. Cette forme a donc fait l’objet de plusieurs expériences de la matière. C’est une sculpture réalisée couche après couche, séchage après séchage. 

Enfin, « Tout est à nous, tout est pour nous, quand nous retrouvons dans nos songes ou dans la communication des songes des autres les racines de la simplicité. » Cette création est le résultat de ce réseau racinaire de recherche expérimentale développée personnellement ainsi que dans le cadre du collectif.

 

BACHELARD Gaston, La flamme d’une chandelle, ch.1 « Le passé des chandelles », PUF, 2020, p. 21. »

Texte d'exposition, Jaulène Lachaud, 2023.

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Cliquez sur l'icone pour voir une courte vidéo de l'exposition.

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